Si vous avez des photos ou vidéos de cette époque, je propose de les rassembler ici.
Je commence avec cette série de photos en couleur : Spoiler
Start-up of a Spitfire named 'The Flying Scotsman', paid for by donations from LNER personnel ('The Flying Scotsman,', of course, being the name of a well-known train, at the time run by LNER). England, 1942.
RAF Spitfires banking over Tunisia during a sortie, 1943.
A Spitfire in flight over England, 1939-1945.
Three Spitfires flying in formation over Essex, 1939-1945.
Spitfires of the Royal Canadian Air Force in Tunisia, 1943.
An RCAF Spitfire pilot preparing for take-off, Tunisia, 1943.
Royal Canadian Air Force Spitfires flying over the Tunisian desert, 1943.
A crashed RCAF Spitfire being dismembered for parts, Tunisia, 1943.
A Spitfire pilot of the South African air force conferring with his Number 2, Tunisia, 1943.
RAF Spitfires flying past Mount Vesuvius, Italy, 1944.
The personal Spitfire of Air Vice Marshal Keith Park, Commanding Air Officer of Malta, as he prepares for a ceremonial take-off to inaugurate Malta’s new aerodrome at Safi, 1943.
And…. take-off!
Refuelling and re-arming of a Spitfire, England, 1939-1945.
RAF pilots in front of a Spitfire, England, 1939-1945.
Free French Air Force’s Dewoitine D.520s over southern France, (probably) late summer of 1944.
The Dewoitine D.520 was the French Air Force’s best single engine fighter at the outbreak of WWII. Slightly slower than the German Bf 109, it was however more maneuverable, and in greater numbers it could have caused a lot of headaches to the Luftwaffe, but as it were, of the 246 produced by May of 1940, only 34 D.520 were among the 609 front line fighters available to face the 3500 Luftwaffe aircraft. By the end of the French Campaign, 437 had been built of which 106 had been lost in combat, claiming in turn 108 kills and 39 probable. The surviving aircraft would be used by the German, Italian, Bulgarian and Vichy Air Forces and see combat against the Allies in Italy, the Eastern Front, North Africa and Syria.
In the summer of 1944, when the Allies invaded the south of France and rapidly moved north, a number of D.520s, in use by the Germans as trainers, were captured and formed the base of two fighter-bomber groups of the Free French Air Force: GCB II/18 ‘Saintonge’ and GCB I/18 ‘Vendée’.
Albeit still wearing a German camo scheme, the Dewoitine D.520 was once again flying French colours in combat with both groups flying in support of FFI units in southern France, and later against the German Atlantic pockets.
Traduction par mes soins (peut contenir des erreurs) :
Spoiler
Dewoitine D.520 des Forces Aérienne Françaises Libres dans le sud de la France (probablement) à la fin de l'été 1944.
Le Dewoitine D.520 était le meilleur chasseur mono moteur au début de la Seconde Guerre mondiale. Légèrement plus lent que le Messerschmitt BF 109, il était par contre plus maniable, et en grand nombre il pouvait poser pas mal de soucis (ndlr : des maux de tête dans le texte anglais) à la Luftwaffe, mais hélas sur les 246 produit jusqu'en Mai 1940, seulement 34 D.520 faisait partis des 609 chasseurs de première ligne disponible pour faire face aux 3500 avions de la Luftwaffe. A la fin de la campagne de France, 437 avait été construit et 106 perdu au combat, rapportant en retour 108 victoires et 39 probables. Les avions survivant seront utilisé par les Allemands, les Italiens, les Bulgares et les Forces Aérienne de Vichy et ont combattu contre les Allier en Italie, sur le Frond de l'Est, dans le Nord de l'Afrique et en Syrie.
A l'été 1944, quand les Allier envahissent le sud de la France et se déplacent rapidement vers le Nord, certains D.520 utilisé par les Allemands comme avion d'entrainement, furent capturé et formèrent des groupes de formation de 2 chasseurs bombardiers des FAFL : le Groupe de Chasse Bombardier II/18 "Saintonge" et le Groupe de Chasse Bombardier I/18 "Vendée".
Bien que portant toujours le camouflage Allemand, les Dewoitine D.520 ont une fois de plus volé aux couleurs de la France en combat en 2 groupes volant en support des unités Forces Françaises de l'Intérieur (ndlr : les FFI : Je ne connaissait pas ça, je vais me renseigner) dans le sud de la France, et plus tard contre les poches résistantes Allemandes de l'Atlantique.